mercredi 22 septembre 2010

Un petit mot pour vous prevenir que j'ai migre vers...
Ce nouveau blog.

lundi 22 juin 2009

Pour vous vendre leur soupe, les élites vous prennent vos dents.

Entre les cinq fruits et légumes à consommer par jour, le sport pour vous faire suer plutôt que réfléchir et les bienfaits pour la santé du travail dominical, nous avons régulièrment droit aux spots labellisés "association pour l'hygiène bucco-dentaire", où divers mérites de pâtes à tartiner nous sont vantés. En plus de nous assurer un sourire plus blanc qu'une cagoule du Klan et une haleine à faire se pâmer la gent féminine (bien que tout le monde sache que c'est l'haleine chargée de vodka qu'elles tombent dans nos bras), nos dents sont protégés des caries par la substance miracle, le fluor!

Voilà ce qui arrive si l'on ne mange que quatre fruits et légumes par jour...

Le mérites du fluor nous ont été vantés comme jadis on eut promu les savons au radium. Le monde est si habitué au produit miracle, que, depuis les années 1930, afin de favoriser la santé dentaire de ses citoyens, l'eau de grandes villes américaines comme New York City ou Boston est fluorée. Comment cela a t il pu arriver? Faisons un peu d'histoire.

Dès le début de la seconde moitié du XIXe siècle, les industries lourdes avaient identifié parmi leurs déchets l'acide fluorique (H-F), comme étant un des plus dangereux, provocant notamment la décalcification des dents des enfants habitant aux alentours. Le fluor fut donc considéré de prime abord comme un dangereux poison. Des règles et des contraintes sur son utilisation apparurent, poussant l'industrie à réagir. Parmi elles, l'Aluminium Company of America (ALCOA) fut une des plus touchées, l'aluminium naturel se présentant souvent sous forme de cryolithe, alliant aluminium, sodium et fluor, et donne, une fois l'aluminium extrait, du fluorure de sodium, extrêmement toxique (il sert principalement dans la mort au rat). Devant la quantité énorme de poison produite, l'ALCOA réagit en noyautant les institutions.

Ainsi, de 1921 à 1933, le secrétaire du Département au Trésor (duquel dépendait le Service de Santé Publique) n'était autre qu'Andrew W. Mellon, un des principaux actionnaires de l'ALCOA. Les études sur les fluorures furent étonnament conduites par le "Mellon Institute", fondé avec son frère, et confiées au docteur Kehoe, lui aussi membre de l'USPHS. L'industrie controlait la recherche privée et les institutions publiques, et eut vite les mains libres pour rentabiliser ses fluorures. L'USPHS pu distribuer des bourses aux dentistes, les rendant dépendants, et les dangers du fluor, comme la fluorose (qui détruit les dents) furent vite oubliés.

Enfin, ce fut autour de l'American Dental Association d'être subventionnée, et l'on eut droit aux études indiquant que "les dents qui se désagrrègent ont moins de caries que les autres". L'ALCOA passa ensuite aux mains de la maison Rockefeller, et en 1945, Oscar Ewing, ancien salarié de l'ALCOA, devint administrateur du Département fédéral de la Santé. C'est ainsi que fut décidée la fluoration de l'eau aux USA. D'autant qu'entre temps, les stocks de poison avaient encore été augmentés par l'emploi du fluor dans la production d'Uranium... Les études contradictoires, comme celles du "Fluoridation demonstration Project", furent bien entendu passées sous silence.

Vous me direz, il s'agit là d'une énième attaue du complexe militaro-industriel sur notre santé à des fins de profit. Mais cela va encore plus loin. Car un peu avant 1945, un autre gouvernement avait décidé de fluorer l'eau de ses camps: le gouvernement nazi.

En effet, les nazis n'hésitèrent pas à utiliser le fluor, dans leur quête du bon aryen, tout d'abord pour stériliser les populations. Mais surtout, ils se rendirent compte, grâce aux études de la tristement célèbre I.G. Farben, que les sujets soumis sur une longue durée à une grande quantité de fluor étaient plus soumis à la domination, par une intoxication du cerveau.

Une bouche d'ou ne sortira que la vérité, immaculée par les élites mondiales!

Ainsi, sous couvert de protéger nos enfants, les élites Rockefeller et Cie (les Rockefeller sont des partenaires historiques de l'I.G. Farben, et des compagnies qui lui ont succédé) entendent nous transformer petit à petit en masses dociles, prêts à accomplir leur moindre volonté. Réveillons nous, et à la dent bien blanche, préférons un esprit bien clair! Sortons du dogme hygiéniste à outrance, une petite odeur, un ratelier de chicots, est-ce vraiment important devant la pureté de l'intellect? Car bien entendu, ce qui compte le plus, c'est la Beauté Intérieure.

lundi 8 juin 2009

Illuminatis vs Reptiliens, la bataille sur vos écrans.

Tandis que le rock n roll et de ses messages subliminaux abordés au cours d'un précédent billet ne touchent finalement qu'une masse active mais toujours un peu en marge (aimant à se croire en rébellion, tant il est vrai qu'apprécier Coldplay relève de la rébellion esthétique), il existe un autre média accessible pour la manipulation de masse: le cinéma et son parent pauvre, le genre de cousin un peu bête ou de grand-parent un peu trop à droite, la télévision. Touchant de nombreux foyers, et ayant acquis un statut de détenteur de la Vérité (toutes les Vérités officielles portent la mention "vu à la télévision", comme le Stéradent), voilà le moyen idéal de s'arroger la fidélité d'un peuple au temps de cerveau disponible de plus en plus long (bien que quelques ilots subsistent, comme ces fort bonnes séries policières allemandes qui en plus de leur lot d'adrénaline réhabilitent un peuple outrageusement méprisé malgré une aptitude à la discipline et à la fabrication de savon artisanaux loués dans tous les entourages éduqués). Il n'est donc pas étonnant que la guerre pour la possession de la télévision et du cinéma fasse rage.

Et cette guerre, nous pouvons la voir, à défaut de la subir, au quotidien. Au fur et à mesure des modes, on peut voir évoluer les modes et les relier à divers mouvements: si pendant un moment la lutte contre les envahisseurs extra-terrestres (décrits comme d'effroyables monstres mangeurs de chatons dans le très célèbre Alien Life Form (A.L.F.), ou celle plus sympathique de distributeur de cadeau dans le jeu francophone "le Bigdil") tenait le haut du pavé, la mode semble être revenue à la traque aux vampires (dont les ressemblances avec les élites israëlites n'est plus à démontrer), pour un temps au moins (d'autres liens sont plus délicats à cerner, qui se cache sous les épaulettes de "The Young and the Restless"? Sous le fluo qui aggresse la rétine de "Save by the Bell" ou "The Fresh Prince of Bel-Air"?).



Encouragés par leur succès d'édition, les groupuscules continuent à se servir des écrits de Dan Brown comme d'un écran de fumée, et de distraire leurs opposants en affolant le spectre de leurs rivaux, les Illuminatis. Ainsi, ils font d'une pierre deux coups: non seulement le public est plus éclairé sur ce mouvement malfaisant, mais en plus, obnubilé qu'il est par eux-même, il se soucie nettement moins que les autres. Si en plus on peut égratigner un des derniers parangons de morale existant, l'Eglise Catholique et le Vatican (au moins, dans cette histoire, on pourra leur reconnaître le relatif fair-play de ne pas se servir d'enfants un peu trop aguicheurs), pourquoi se priver? Bien entendu, retrouver Tom Hanks dans un tel film est assez peu étonnant, tant l'allusion grossière au WaterGate dans "Forrest Gump" ne trompe personne sur son appartenance profonde, ni sa tendance à se nourrir de petits insectes ou à prendre des bains d'eau glacée dès que la température dépasse les 21°C. Un coup dur infligé aux puissants Illuminati, qui ont du ressortir leur première arme de destruction comploteuse massive...



Pionnière dans le genre, cette série a pu nous familiariser avec le concept d'un peuple extra-terrestre, venu avec des intentions hostiles, et capable de prendre une apparence terrestre pour se fondre dans la population. Et étrangement, ce peuple qui décime plus de souris blanche que n'importe quel laboratoire de génétique a l'apparence de ... reptiles. Les gens un tant soit peu versés dans la réalité profonde de notre société auront de suite remarqué vers qui était dirigée l'attaque. Nous sommes ainsi habitués et préparés à la découverte de cette race au sang froid et aux uniformes d'un gout particulier, et surtout nous leurs attribuons sans y penser, par le truchement d'un conditionnement sournois, des intentions hostiles. Nul doute que lorsque leur existence sera révélée au plus grand nombre, nous réagirons comme on nous l'a appris, à moins d'une contre-attaque rapide.

Amis lecteurs, il convient donc de laisser courir son esprit critique, non seulement envers les balivernes que l'on veut nous faire passer pour des "faits scientifiques", mais également lors de programmes de "divertissement", tant il est clair que la télévision est un moyen trop important pour qu'il ne soit pas exploité en continu, d'autant plus quand le contenu apparait léger et sans danger. Dans un monde où Nicolas le Jardinier travaille pour le lobby OGM et M. Drummond pour la cause du métissage à tout âge, mieux vaut ne pas baisser les bras.

mardi 2 juin 2009

As de pique.

Pour beaucoup de gens, l'idée même de la piqure est désagréable, certains tournent plus vite de l'œil à la vue d'une aiguille qu'un taliban à la Gay Pride, et la seringue est devenue malgré elle l'héroïne de bien des drames nocturnes. Si toutes ces notions sont bien implantées dans nos esprits préformattés, cela n'a pas toujours été le cas, et certaines peuplades ont bien compris l'intérêt que peut avoir la piqure, et ont réussi contre vents et marées, et surtout contre les tenants du nouvel ordre mondial, à perpétuer la tradition de l'acupuncture (pour laquelle nous devons encore louer le peuple chinois, au même titre que la poudre à canon ou le Tibet libre).



Pourquoi aborder maintenant le sujet? Outre les contingences matérielles et la nécessite d'échapper aux agents gouvernementaux parvenus à dénicher l'endroit de ma retraite tamoule, il se trouve qu'un collaborateur que nous appellerons Olaf-Massimo Jeanne d'Arc (nom de code que les initiés perceront facilement à jour) m'a fait part de la parution dans la prestigieuse revue "Archive of internal medecine", que l'on qualifie de "peer reviewed" (c'est à dire que les articles publiés sont approuvés par la communauté scientifique), d'un article prouvant l'efficacité de l'acupuncture. Il convient de féliciter les médecins auteurs de l'article, allant contre l'intelligentsia en place et ne pa hésiter également à les soutenir dans les turbulences que va sans doute engendrer un tel article. Il est donc scientifiquement prouvé que oui, l'acupuncture a un effet bénéfique, ne serait-ce que pour le mal de dos (le manque de financement les obligeant à n'étudier qu'une pathologie, il fallut faire un choix, mais bien d'autres suivront). Les chinois, qui avaient compris l'intérêt de cette pratique depuis des millénaires (ainsi que les inconvénients que pouvait subir une femme à avoir de trop grands pieds), sont donc réhabilités, et la réticence à recourir aux méthodes dites traditionnelles de l'extrême-orient (hypnose, yi-king ou maoïsme) devrait prendre un coup certain avec cette publication.

Il convient de s'interroger sur cette réticence. Bien sur, on peut blâmer une société moderniste pour l'attrait du modernisme, qui souhaite le changement pour le changement, parfois en dépit du bon sens (commander un billet de train était bien plus facile sur minitel). Tout ce qui est moderne est encensé, quitte à être abandonné bien vite quand un nouveau gadget vient prendre la niche. Dans un tel climat, les pratiques millénaires comme la religion ou l'acupuncture sont forcément désavantagées. Mais dans le cas qui nous intéresse, il y a d'autres raisons.

En effet, l'acupuncture a pour base l'introduction sous le derme de fines aiguilles. Ces aiguilles ont tout à fait la forme requise pour participer à l'"effet de pointe", bien connu en électromagnétisme depuis Richard Feynman, qui explique facilement qu'un objet avec une pointe très prononcée génèrera la foudre (qui va, contrairement à ce que l'on pense, du sol au ciel), ou comme un gadget à la pointe de la technologie attirera l'attention. La pointe est en effet la source d'une singularité électrique (ou, suivant le cas, d'une singularité d'évaporation qui fonctionne sur le même principe, et explique assez bien la forme des tâches de café) qui génère des interactions très fortes avec l'environnement. Il n'y a ainsi rien de mystérieux au fait qu'une telle pointe puisse grandement affecter notre organisme.

Hélas, j'ai déjà donné quelques exemples (notamment avec les manipulations sur nos ondes quantiques) qui illustrent bien la bataille pour la conquête de notre organisme: celui qui les contrôlera imposera son nouvel ordre mondial. Et ceux qui tiennent le haut du pavé dans cette lutte ne voient pas d'une très bonne oreille que l'on vienne les déranger. En effet, de par leur action électromagnétique, les aiguilles d'acupuncture peuvent grandement perturber le champ des puces de marquage RFID qui se répandent à notre insu, au gré de telle ou telle intervention mineure. Si l'acupuncture venait à se généraliser, cette méthode de contrôle des populations serait rendue totalement inefficace, engloutissant des milliards de dollars en recherche et développement, ainsi qu'en corruptions diverses.
Un point d'acupuncture particulièrement efficace contre la manipulation quantique
Pire encore, cet effet de pointe n'est pas non plus sans conséquence pour les ajouts chimiques que nous subissons pour devenir plus dociles, moins gênants à contrôler pour nos gouvernements. Ainsi, de la même façon que pour la tache de café, les agents extérieurs chimiques auront tendance à aller se coller à l'aiguille, par liaison de ligand avec le métal, et finiront donc à l'extérieur de votre organisme. Si cela peut être bénéfique dans le cas d'agent pathogènes, on comprend la déconfiture que cela provoque chez ceux qui veulent nous tranquilliser à coup de produits de synthèse.

On comprend donc le pourquoi de cette campagne de dénigrement, cachée derrière un pseudo-modernisme. Toutefois, la publication de résultats probants en faveur de l'acupuncture va pousser certaines de nos élites (malheureusement, certains groupes comme les illuminatis ont d'autres moyens de contrôle) à changer de stratégie. Quant à nous, il convient que nous continuions la lutte afin que des pratiques millénaires de défense ne soient pas rejetés par une pseudo-communauté scientifique fermée à toute utilisation de méthode "traditionnelle". La route est longue, mais nous sommes sur la bonne voie, et celle-ci est sans doute pavée de bonnes surprise: aujourd'hui l'acupuncture, demain l'excision?

vendredi 15 mai 2009

Dans le cochon, tout est bon contre la manipulation.

En guise d'introduction, il me faudra encore une fois m'excuser pour la pauvre fréquence à laquelle je peux alimenter ce blog. La connexion sécurisée n'étant pas facile à obtenir de là où je suis, les mises à jours me sont difficiles. En contrepartie, les murs en bouse séchée de ma hutte m'offrent une protection contre les satellites espions, les élites méprisant volontiers le Tiers-Monde, pensant qu'aucune menace autre que celles qu'ils inventent (le SIDA, Ebola ou Amadou et Mariam) ne saurait sortir du berceau de l'humanité, ou des bidonvilles bien surveillés par des gouvernement fantoches.

Un petit blondinet comme ça, fléau de l'humanité, vous y croyez?

En revanche, le Tiers-Monde continue d'être un efficace bouc émissaire, quand il s'agit de faire peur aux consommateurs. Quand certains agitent un peu trop le spectre de la "bite des noirs", sans se soucier de l'éjaculation de haine qu'ils obtiendront sans trop d'efforts chez ceux qui ont l'érection du bras droit facile, d'autres se plaindront de la perte de leur emploi, blâmant plus pauvres qu'eux parce qu'ils savent faire le même travail plus vite, plus longtemps et moins cher. Bien sur, le SIDA viendrait d'Afrique (au même titre que l'humanité, mais cela on s'en plaint étrangement moins), et ferait autant de victimes que la polygamie, autre maladie venue d'horizons lointains.

Pour maintenir une peur qui ne peut être salutaire qu'au système et à ses élites, après la crise financière et sa cohorte de paradis fiscaux des Caraïbes, après la grippe aviaire importée par de terribles paysans Viets depuis leurs fermes insalubres, voici la grippe A, H1N1. Ou plus simplement, la grippe porcine. Porcine? Tiens donc. Et venue d'où? Du Mexique bien entendu, avec plusieurs milliers de morts (soit bien moins en terme de mortalité que les burritos avariés, ersatz de tequila frelatés ou Florence Cassez).
Cette grippe vient grossir les rangs des nombreuses maladies (rouget du porc, neurocysticercose) attribuées à nos pourvoyeurs de bacon préférés. Etrangement, cet animal a toujours eu très mauvaise réputation (le "gros porc" lancé régulièrement par la gent féminine lorsque leur partenaire fait fi de l'hypocrisie sociale voulant que l'on parle d'abord de leur coupe de cheveux et de leurs beaux yeux avant de leur sauter à la croupe en atteste indéniablement). Il est banni par plusieurs religions dans l'alimentation, et la psychose de la viande de porc est une nouvelle fois relancée, malgré les bienfaits écologiques de l'animal en tant qu'éboueur naturel et les qualités universellement reconnues de la rosette de Lyon.

Pourquoi les élites qui dirigent nos médias, descendants de ceux qui fabriquèrent les différents prophètes, sont à ce point véhéments? Pour mieux comprendre, il faut faire un peu de zoologie. En effet, la prestigieuse revue Nature nous apprend que la viande de porc est très riches en protéines diverses et variées, mais aussi en prions. Les prions, vous vous en rappelez, ces molécules qu'ont nous exhortait à éviter, si l'on ne voulait pas se retrouver comme nos amis bovins avec le cerveau comme un gruyère, digne de celui d'un catcheur retraité. Ce que l'on clame moins sur les toits, c'est que ces molécules sont à l'origine d'un champ prionique, dont les caractéristiques sont semblables à celles des autres champs, comme les champs électriques ou l'aura. Et ce champ a en outre la gentillesse de se concentrer autour de notre cerveau, là où aiment se nicher les prions, et de l'envelopper en formant ainsi une couche protectrice.
De ce fait, les gros mangeurs de porcs sont alors un peu mieux protégés des influences néfastes (avez vous remarqué la faible tendance de ceux-ci à arborer des ceintures d'explosif ou à s'en prendre à l'architecture New-Yorkaise?) que les autres. En particulier, le champ prionique interagit très violemment avec les ondes deltas produites par la glande surrénale des reptiliens, ondes qu'ils affectionnent tant l'emprise qu'elles leur confèrent sur le cerveau des innocents est grande. Le porc serait donc un commencement de réponse à la domination des reptiliens, et leurs adversaires de toujours, qui se rassemblent aujourd'hui sous le nom d'illuminati dans la lutte pour le sommet du Nouvel Ordre Mondial en sont conscient, en atteste la véhémente dispute autour du porc dans les cantines françaises.

Plus étonnant encore, un animal est plus riche en prions que le porc, et a été encore plus diabolisé dans l'opinion populaire. Fui comme la peste, le rat est pourtant une source de salut pour qui ne veut pas tomber sous le contrôle des manipulateurs cérébraux intergalactiques. Cela se remarque assez facilement, quand on a l'occasion de s'esbaudir de leur merveilleuse adaptation au monde moderne, à peine dépassé par l'adaptation d'un groupe d'une trentaine de clandestins au confort d'un radeau quittant Cuba. Le rat a maint fois prouvé son intelligence, et mieux encore, a prouvé qu'il pouvait être un élément clé dans la résistance à la manipulation. C'est ainsi que, poussés par la famine, les Parisiens n'eurent plus malgré leur gout célèbre pour la gastronomie (en témoigne le champignon de Paris, qui est aux champignons ce que l'Emmental est au fromage) que les rats pour se nourrir. Ainsi éveillés, ils purent s'élever contre la manipulation odieuse des reptiliens, ce qui aboutit aux fameux évènements de la Commune.
Il y a moins dégradant que de rester esclaves des élites à sang froid...

Il est donc très important non seulement de vérifier les informations données par les médias populaires, mais aussi de se renseigner sur les raisons profondes qu'ont les élites pour nous pousser à la psychose. Ainsi, tant que nous rechignerons à nous nourrir correctement, au prix d'un soit-disant gout qui n'est que contexte historique (le menu d'un repas romain ferait vraisemblablement vomir n'importe quel Cyril Lignac), nous resterons plus que jamais inféodés, enchaînés à ces gouvernements de l'ombre, aveuglés par une pseudo-démocratie. Révoltons nous contre ce diktat social qui bannit le rat de notre alimentation. Heureusement, au vu de l'explosion des "kebabs" turcs et des restaurants asiatiques dans la ville Lumière, une nouvelle Commune n'est peut être pas si loin...

lundi 9 février 2009




S'il y a bien une chose que nous ne pouvons renier, c'est bien ce désir que nous avons de nous reproduire, et de perpétuer l'espèce. Qui n'est pas attendri par les gazouillis d'un nourrisson au beau milieu de la nuit, par les regards enamourés qui s'en suivent et la lutte pour être celui qui se lèvera pour aller réconforter le chérubin? Qui n'a pas senti ses gonades chauffer devant le magnifique spectacle de la vie qui s'éveille et de l'enfant qui exprime par une méthode bien à lui qu'il souhaiterait ces quelques friandises, placées par inadvertance à côté de la caisse?
Ce n'est toutefois pas tout d'assurer une descendance, il faut aussi lui assurer une éducation adéquate et développer ses capacités au maximum. Il faut donc parallèlement être capable dévaluer les dites capacités, ce que devrait faire notre Éducation Nationale (quand son immobilisme ne s'ébranle pas sur nos pavés). Certes, il existe une batterie de test standardisés, mais l'on passe tout de même à côté de capacités essentielles, qui pourraient être utilisées pour le bien fait de l'humanité. Ainsi, Pourquoi systématiquement éviter de prêter attention à l'aura des citoyens de demain?

Il convient de faire une petite digression sur cette aura. Il ne s'agit bien entendu pas là de quelque chose visible à l'œil nu, sans quoi nous en aurions tous fait l'expérience, ni d'une faculté innée ou acquise réservée à une élite. Il s'agit simplement du champ électro-magnétique que chaque être humain émet, et donc en quelque sorte de l'interaction entre notre onde quantique propre (voir "le monde des ondes") et celle de notre environnement. Et dès lors que l'on sait ce que l'on cherche, l'instrumentation devient de plus en plus évidente: il suffit d'utiliser l'effet Kirlian. Grâce à une modification de plaques photographiques, on peut apercevoir cette aura, y compris même des rémanences de celles-ci: ainsi ont été rendus célèbres les clichés faisant apparaître la partie manquante d'une feuille (voir la photo) ou même le bras du batteur de Def Leppard. Ce type de photographie permet aussi de visualiser des changements dans l'aura de gens, par exemple de médiums en contact avec des êtres de l'Outre-Monde ou des créatures du Ver.

Sur la photographie de droite, on voit apparaître le sommet de la feuille qui a pourtant été découpé.

Ces auras sont, dans l'immense majorité des cas (à l'exception notables des races supra-terrestres), très pâles et jaunâtres. Cependant, il existe certains individus dont l'aura est singulière, tirant vers le bleu foncé (à cause d'une énergie bien plus importante se déplaçant le long du spectre lumineux): il s'agit des Enfants Indigos. Bien des théories capillotractées ont circulé à leur sujet, en faisant tour à tour des élus ou des parias, un échelon supérieur dans l'évolution ou les premiers signes d'un désastre écologique qui s'annonce. Sortons un peu du sensationnalisme et des pseudos-sciences, la couleur de l'aura de ces individus s'explique facilement par l'incarnation d'entités étrangères. L'intense couleur de cette aura montre une hypersensibilités aux ondes quantiques, et donc au monde qui nous entoure.

Du fait de cette hypersensibilité, il convient de prêter une attention particulière au développement de l'enfant, et en particulier à sa sociabilisation: bombardés d'informations électro-quantiques, le repli sur soi, ou encore le divertissement sont une solution facile. Tous ces enfants jugés inadaptés, autistes ou hyperactifs ne méritent ils pas que l'on envisage cette possibilité, pour leur bien être futur? Pourquoi nos institutions se passent ils de tels outils?
Alors que nous connaissons les bienfaits que de tels enfants, bien pris en charge, peuvent apporter à la société. Avec un accompagnement adéquat, on a pu voir comment ce jeune garçon du siècle dernier jugé inadapté par l'establishment scolaire autrichien a pu révolutionner le monde de la Physique en y introduisant la notion de relativité. On peut également citer le cas d'Edison, un des seuls enfants indigos ayant pu accéder aux hautes sphères scientifiques. On remarquera d'ailleurs que de tels enfants, de par leurs affinités avec les ondes, sont souvent des inventeurs fort doués.

Les Enfants Indigos ont même infiltré l'imaginaire collectif de certains peuples, comme celui des nippons.


La question du pourquoi est donc véritablement importante, puisque nous perdons des sources potentielles de progrès. Il s'agit donc de se demander à qui le crime profite. Et qui, au sein des hautes sphères, de nos élites, n'a pas intérêt à voir débarquer ce genre de personnes un peu trop sensitives? La réponse à une telle question est évidente, formulée ainsi. De par leur champ magnétique personnel très puissant, qui en outre les protège des manipulations mentales du projet HAARP, ces enfants perturbent le champ morphique créé par les reptiliens pour passer inaperçu au sein de la population qu'ils entendent soumettre. Voilà donc un véritable danger pour ce groupe extrêmement influent, danger qu'ils circonscrivent autant qu'ils peuvent.

Grâce au réseau mondial, les informations circulent plus vite, et notamment celle sur les capacités des êtres indigos. La résistance s'organise, et des organisations se mettent en place pour les aider à réaliser leur plein potentiel. La riposte ne s'est bien entendue pas faite attendre. Quand il n'était pas possible de fabriquer de fausses preuves, c'est le fiel de la rumeur qui a été répandu, hydre aux têtes plus insaisissables que jamais. Exploitation, arnaques, et bien entendu les fameuses "dérives sectaires", terme employé pour jeter l'opprobre sur tout ce qui sort du champ bien balisé par le pouvoir central. Et nos maîtres de l'ombre n'hésitent pas à jouer sur des cordes des plus abjectes, condamnant de cette façon des centaines d'enfants, voués à un CAP sanitaire et social ou un BEP hôtesse en lieu et place des chaires les plus prestigieuses de nos académies. Et privant la quasi-totalité de la population d'un savoir bénéfique.

Alors, parents, il vous faut ouvrir les yeux même devant l'éducation nationale, et les étiquettes qu'elle est prompte à coller. Pour le bien être de tous, et celui de votre enfant, n'hésitez pas à observer son aura et les changements qui s'y produisent. Vous saurez maintenant qu'il faut agir si vous voyez le fameux indigo, et une image de votre bambin bleu pâle vous montrera que votre congélateur n'est pas si bien réglé.

lundi 15 décembre 2008

Give me fuel, give me that I shall desire..

Cyclothymie du cirque médiatique oblige, tout comme le tsunami avait guéri la grippe aviaire ou les amourettes présidentielles calmé la grogne sociale, la crise financière à laquelle on tente de nous faire croie aura au moins eu un mérite: le baril a presque perdu 50% de sa valeur. Et du coup, on ne nous parle plus de restrictions, exit le battage autour des "solutions alternatives" (qui seraient vraiment alternatives si elles n'étaient pas l'apanage des mêmes consortii, masquant les mêmes happy few). Plus un reportage sur cette ferme qui se chauffe au purin, ou les bienfaits de la récupération du cérumen comme isolant thermique, bien que certains continuent à se plaindre du froid (tandis que les autres meuglent sur le réchauffement climatique), même si franchement, quand il fait ce temps là, c'est pas très malin de passer ses nuits sous une tente. Bref, nous n'avons apparemment plus de soucis énergétiques... jusqu'au prochain trou d'air dans l'actualité mondiale.

La vraie question que l'on doit se poser, après toute cette agitation autour de la flambée des prix du pétrole, est celle de notre dépendance aux hydrocarbures: sommes nous dépendants du combustibles, ou de ceux qui l'exploitent? Ces exploitants agissent ils pour le bien du plus grand nombre? A voir les mœurs de certains grands groupes (sécurité minimale pour l'extraction et le transport, avec les conséquences que l'on sait sur les huîtres et les plages, où l'on doit maintenant passer ses congés payés pataugeant dans les eaux de dégazages), on peut en douter. Et à voir les condamnations dérisoires qui s'en suivent, on ne peut qu'être perplexe.
A la vue des diverses annonces marketing de lancement de gammes "électriques" vite abandonnées par les constructeurs automobiles, dont les relations incestueuses avec les pétroliers effraient jusqu'à Outreau, on peut légitimement se dire que la dépendance envers l'essence est savamment entretenue.

Bien entendu, ça et là, quelques inventeurs géniaux bravent les interdits et la puissance des lobbys. Les militaires, au courant des avancées technologiques gardées secrètes par le conseil de surveillance de la Franc-Maçonnerie (composé principalement de membres du 3e cercle), disposent également de technologies très prometteuses, bien évidemment peu soupçonnée par le grand public, du fait de leur faible diffusion dans Auto-Plus ou Entrevue. Jetons un coup d'œil à quelques unes de ces technologies, tout en sachant qu'avec une telle chape de plomb, l'exhaustivité relèverait d'un miracle digne de la mort de Daniel Balavoine.

Le moteur Pantone

Dans un premier temps, pensons à la facilité: plutôt que de supprimer totalement l'essence dans nos moteurs, pourquoi ne pas chercher à en réduire drastiquement la consommation? Malgré nos préjugés, c'est assez facilement réalisable: c'est l'objet du moteur Pantone, qui permet de réduire la consommation d'au moins 50% en hydrocarbure. L'idée est simple: il s'agit de faire recirculer, au moyen d'une membrane cellulaire d'échange gazeuse, les gaz d'échappement à travers de l'eau. On obtient de cette façon un réacteur à plasma à réaction endothermique. Pour décoder un peu, les gaz d'échappement sont assez énergétiques pour, combinés à la vapeur d'eau ainsi créée, ioniser l'air et créer de cette manière un plasma. Ce plasma très énergétique servira à compenser de façon astucieuse une alimentation moindre en carburant. Il est de plus assez facile à concevoir et fabriquer, et l'on en trouve des plans fort bien conçus: c'est ainsi que votre serviteur a obtenu des résultats étonnants, se transformant en ingénieur le temps de modifier sa tondeuse à gazon.
Il va de soit qu'une telle réduction de la consommation n'est pas du gout des producteurs et distributeurs de carburant. Il n'y a donc pas grand chose d'étonnant dans les condamnations pour escroquerie de l'inventeur Paul Pantone par un juge dont la femme est étrangement... membre du conseil d''administration d'Exxon. L'aspect financier n'étant pas suffisant pour réduire notre empêcheur de surconsommer en rond, il a été placé de force dans un établissement psychiatrique où il est gavé contre sa volonté de médicaments. Heureusement, certains continuent à se battre et à expérimenter...

Il existe également des technologies que l'on soupçonne depuis longtemps d'avoir le potentiel pour empiéter sur le territoire du diesel: on peut citer par exemple les voitures électriques, la pile à combustible (ou la marche à pieds). Nous pouvons tous constater à quel point nous avançons à reculons sur ces projets: pas assez rémunérateurs, ils restent à l'état de curiosité pour apaiser les écologistes mi-acharnés (les plus acharnés vivant de toutes façons dans des arbres bien loin de toute cette agitation). Les crédits alloués aux équipes publiques ont de l'aveu même du CNRS (et de son directeur, qui continue à nier farouchement, très farouchement, trop farouchement sans doute, des liens éventuels avec la section parisienne des Illuminatis) été placés vers des champs plus porteurs (OGMs et générateurs d'ondes, surement). Il existe également, hors du champ que nous pouvons initier, une source de savoir alternative, les exo-technologie, collectées depuis plus de 50 ans par les différentes armées mondiales sur les différents OVNIs.

Une exo-technologie: l'utilisation des ondes scalaires

Parmi ces technologies, deux semblent assez symboliques et compréhensibles par nos cerveaux terrestres: la propulsion par onde scalaire et la psychotronique.
La première se comprend assez bien dans la théorie des ondes (cette fois-ci, ne nous tournons pas vers Gabriel Lafrenière mais vers un autre spécialiste mondial des ondes, dont les travaux sont visibles en version simplifiée sur la Toile): si l'on envoie deux ondes en opposition de phase, les vibrations se compensent, mais les énergies s'additionnent. Ainsi, en chaque point du vide existerait donc ces ondes énergétiques. Elles ont l'avantage d'être productibles assez facilement par l'homme, en utilisant deux émetteurs (qui peuvent être aussi simples que les hauts-parleurs de l'enceinte qui crachouille RFM dans votre bureau toute la journée). Le principal effet est la possibilité de faire entrer ces ondes en résonance entre deux corps:
Résonance des ondes scalaires entre deux corps

On peut ainsi créer un effet de répulsion énergétique entre ces corps, ce qui correspond parfaitement à de l'antigravité. Ainsi, on peut parfaitement réduire de façon drastique la consommation d'un des moyens de transport les plus consommateurs, l'avion. Mais est-ce possible en pratique? Pourquoi parler d'exo-technologie? La réponse à ces deux questions se trouve dans les camps de l'armée rouge en ex-Kazakhstan, il y a quelques 30 ans. C'est à cet époque, raconte le savant Youri Petrovitch (Dr en Physique et responsable d'un département d'étude de l'armée de l'air soviétique) qu'a été retrouvé un module d'origine visiblement extra-terrestre utilisant ce mode de propulsion, qui semble donc être utilisé par les peuples dont on nous cache l'existence.

Ironie du sort, les visiteurs intéressés par le tourisme intergalactique de l'autre côté du rideau de fer utilisaient un autre technologie plus aisément compréhensible, mais paradoxalement plus difficilement théorisable: la psychotronique. Celle-ci utilise un principe que nous connaissons et expérimentons tous: le pouvoir de l'esprit sur la matière. Celui-ci est connu depuis longtemps, des guérisons miraculeuses (actions de l'esprit sur le corps) aux travaux sur la biodyne ou les expériences d'Uri Geller (torsion d'objets métalliques à distance), en passant par le spiritisme. Pourquoi ne pas utiliser ce principe pour contrôler et propulser des véhicules? En tout cas, d'après de nombreux ufologues et spécialistes aérodynamiques, c'est ainsi que se déplaçaient plusieurs des véhicules récupérés au Nouveau-Mexique. Mais il semble malheureusement compliqué pour le moment de transférer cette technologie aux humains: celle-ci n'a été étudiée qu'à partir de véhicules accidentés. Si les systèmes semblent en bon état, notre manque de compréhension de la biologie et de l'anatomie des pilotes pose problème. Il faut donc attendre un échange "actif". Celui-ci a peut être par ailleurs déjà eu lieu dans le passé, et balayé par les affres de l'histoire. Cela expliquerait alors cette peinture retrouvée dans une sépulture maya, peuple que l'on soupçonne d'avoir connu des avancées technologiques qui nous dépasseraient, et de façon inexpliquée si l'on écarte les contacts avec d'autres civilisations plus avancées...
L'astronaute Maya

Il existe donc de nombresuses formes d'énergies étouffées, par pur intérêt financier. Cela étant dit, comment se passer d'une énergie qui nous procure la joie de voir enfin ces mouettes qui nous cassent les oreilles recevoir une bonne leçon?