lundi 22 juin 2009

Pour vous vendre leur soupe, les élites vous prennent vos dents.

Entre les cinq fruits et légumes à consommer par jour, le sport pour vous faire suer plutôt que réfléchir et les bienfaits pour la santé du travail dominical, nous avons régulièrment droit aux spots labellisés "association pour l'hygiène bucco-dentaire", où divers mérites de pâtes à tartiner nous sont vantés. En plus de nous assurer un sourire plus blanc qu'une cagoule du Klan et une haleine à faire se pâmer la gent féminine (bien que tout le monde sache que c'est l'haleine chargée de vodka qu'elles tombent dans nos bras), nos dents sont protégés des caries par la substance miracle, le fluor!

Voilà ce qui arrive si l'on ne mange que quatre fruits et légumes par jour...

Le mérites du fluor nous ont été vantés comme jadis on eut promu les savons au radium. Le monde est si habitué au produit miracle, que, depuis les années 1930, afin de favoriser la santé dentaire de ses citoyens, l'eau de grandes villes américaines comme New York City ou Boston est fluorée. Comment cela a t il pu arriver? Faisons un peu d'histoire.

Dès le début de la seconde moitié du XIXe siècle, les industries lourdes avaient identifié parmi leurs déchets l'acide fluorique (H-F), comme étant un des plus dangereux, provocant notamment la décalcification des dents des enfants habitant aux alentours. Le fluor fut donc considéré de prime abord comme un dangereux poison. Des règles et des contraintes sur son utilisation apparurent, poussant l'industrie à réagir. Parmi elles, l'Aluminium Company of America (ALCOA) fut une des plus touchées, l'aluminium naturel se présentant souvent sous forme de cryolithe, alliant aluminium, sodium et fluor, et donne, une fois l'aluminium extrait, du fluorure de sodium, extrêmement toxique (il sert principalement dans la mort au rat). Devant la quantité énorme de poison produite, l'ALCOA réagit en noyautant les institutions.

Ainsi, de 1921 à 1933, le secrétaire du Département au Trésor (duquel dépendait le Service de Santé Publique) n'était autre qu'Andrew W. Mellon, un des principaux actionnaires de l'ALCOA. Les études sur les fluorures furent étonnament conduites par le "Mellon Institute", fondé avec son frère, et confiées au docteur Kehoe, lui aussi membre de l'USPHS. L'industrie controlait la recherche privée et les institutions publiques, et eut vite les mains libres pour rentabiliser ses fluorures. L'USPHS pu distribuer des bourses aux dentistes, les rendant dépendants, et les dangers du fluor, comme la fluorose (qui détruit les dents) furent vite oubliés.

Enfin, ce fut autour de l'American Dental Association d'être subventionnée, et l'on eut droit aux études indiquant que "les dents qui se désagrrègent ont moins de caries que les autres". L'ALCOA passa ensuite aux mains de la maison Rockefeller, et en 1945, Oscar Ewing, ancien salarié de l'ALCOA, devint administrateur du Département fédéral de la Santé. C'est ainsi que fut décidée la fluoration de l'eau aux USA. D'autant qu'entre temps, les stocks de poison avaient encore été augmentés par l'emploi du fluor dans la production d'Uranium... Les études contradictoires, comme celles du "Fluoridation demonstration Project", furent bien entendu passées sous silence.

Vous me direz, il s'agit là d'une énième attaue du complexe militaro-industriel sur notre santé à des fins de profit. Mais cela va encore plus loin. Car un peu avant 1945, un autre gouvernement avait décidé de fluorer l'eau de ses camps: le gouvernement nazi.

En effet, les nazis n'hésitèrent pas à utiliser le fluor, dans leur quête du bon aryen, tout d'abord pour stériliser les populations. Mais surtout, ils se rendirent compte, grâce aux études de la tristement célèbre I.G. Farben, que les sujets soumis sur une longue durée à une grande quantité de fluor étaient plus soumis à la domination, par une intoxication du cerveau.

Une bouche d'ou ne sortira que la vérité, immaculée par les élites mondiales!

Ainsi, sous couvert de protéger nos enfants, les élites Rockefeller et Cie (les Rockefeller sont des partenaires historiques de l'I.G. Farben, et des compagnies qui lui ont succédé) entendent nous transformer petit à petit en masses dociles, prêts à accomplir leur moindre volonté. Réveillons nous, et à la dent bien blanche, préférons un esprit bien clair! Sortons du dogme hygiéniste à outrance, une petite odeur, un ratelier de chicots, est-ce vraiment important devant la pureté de l'intellect? Car bien entendu, ce qui compte le plus, c'est la Beauté Intérieure.

lundi 8 juin 2009

Illuminatis vs Reptiliens, la bataille sur vos écrans.

Tandis que le rock n roll et de ses messages subliminaux abordés au cours d'un précédent billet ne touchent finalement qu'une masse active mais toujours un peu en marge (aimant à se croire en rébellion, tant il est vrai qu'apprécier Coldplay relève de la rébellion esthétique), il existe un autre média accessible pour la manipulation de masse: le cinéma et son parent pauvre, le genre de cousin un peu bête ou de grand-parent un peu trop à droite, la télévision. Touchant de nombreux foyers, et ayant acquis un statut de détenteur de la Vérité (toutes les Vérités officielles portent la mention "vu à la télévision", comme le Stéradent), voilà le moyen idéal de s'arroger la fidélité d'un peuple au temps de cerveau disponible de plus en plus long (bien que quelques ilots subsistent, comme ces fort bonnes séries policières allemandes qui en plus de leur lot d'adrénaline réhabilitent un peuple outrageusement méprisé malgré une aptitude à la discipline et à la fabrication de savon artisanaux loués dans tous les entourages éduqués). Il n'est donc pas étonnant que la guerre pour la possession de la télévision et du cinéma fasse rage.

Et cette guerre, nous pouvons la voir, à défaut de la subir, au quotidien. Au fur et à mesure des modes, on peut voir évoluer les modes et les relier à divers mouvements: si pendant un moment la lutte contre les envahisseurs extra-terrestres (décrits comme d'effroyables monstres mangeurs de chatons dans le très célèbre Alien Life Form (A.L.F.), ou celle plus sympathique de distributeur de cadeau dans le jeu francophone "le Bigdil") tenait le haut du pavé, la mode semble être revenue à la traque aux vampires (dont les ressemblances avec les élites israëlites n'est plus à démontrer), pour un temps au moins (d'autres liens sont plus délicats à cerner, qui se cache sous les épaulettes de "The Young and the Restless"? Sous le fluo qui aggresse la rétine de "Save by the Bell" ou "The Fresh Prince of Bel-Air"?).



Encouragés par leur succès d'édition, les groupuscules continuent à se servir des écrits de Dan Brown comme d'un écran de fumée, et de distraire leurs opposants en affolant le spectre de leurs rivaux, les Illuminatis. Ainsi, ils font d'une pierre deux coups: non seulement le public est plus éclairé sur ce mouvement malfaisant, mais en plus, obnubilé qu'il est par eux-même, il se soucie nettement moins que les autres. Si en plus on peut égratigner un des derniers parangons de morale existant, l'Eglise Catholique et le Vatican (au moins, dans cette histoire, on pourra leur reconnaître le relatif fair-play de ne pas se servir d'enfants un peu trop aguicheurs), pourquoi se priver? Bien entendu, retrouver Tom Hanks dans un tel film est assez peu étonnant, tant l'allusion grossière au WaterGate dans "Forrest Gump" ne trompe personne sur son appartenance profonde, ni sa tendance à se nourrir de petits insectes ou à prendre des bains d'eau glacée dès que la température dépasse les 21°C. Un coup dur infligé aux puissants Illuminati, qui ont du ressortir leur première arme de destruction comploteuse massive...



Pionnière dans le genre, cette série a pu nous familiariser avec le concept d'un peuple extra-terrestre, venu avec des intentions hostiles, et capable de prendre une apparence terrestre pour se fondre dans la population. Et étrangement, ce peuple qui décime plus de souris blanche que n'importe quel laboratoire de génétique a l'apparence de ... reptiles. Les gens un tant soit peu versés dans la réalité profonde de notre société auront de suite remarqué vers qui était dirigée l'attaque. Nous sommes ainsi habitués et préparés à la découverte de cette race au sang froid et aux uniformes d'un gout particulier, et surtout nous leurs attribuons sans y penser, par le truchement d'un conditionnement sournois, des intentions hostiles. Nul doute que lorsque leur existence sera révélée au plus grand nombre, nous réagirons comme on nous l'a appris, à moins d'une contre-attaque rapide.

Amis lecteurs, il convient donc de laisser courir son esprit critique, non seulement envers les balivernes que l'on veut nous faire passer pour des "faits scientifiques", mais également lors de programmes de "divertissement", tant il est clair que la télévision est un moyen trop important pour qu'il ne soit pas exploité en continu, d'autant plus quand le contenu apparait léger et sans danger. Dans un monde où Nicolas le Jardinier travaille pour le lobby OGM et M. Drummond pour la cause du métissage à tout âge, mieux vaut ne pas baisser les bras.

mardi 2 juin 2009

As de pique.

Pour beaucoup de gens, l'idée même de la piqure est désagréable, certains tournent plus vite de l'œil à la vue d'une aiguille qu'un taliban à la Gay Pride, et la seringue est devenue malgré elle l'héroïne de bien des drames nocturnes. Si toutes ces notions sont bien implantées dans nos esprits préformattés, cela n'a pas toujours été le cas, et certaines peuplades ont bien compris l'intérêt que peut avoir la piqure, et ont réussi contre vents et marées, et surtout contre les tenants du nouvel ordre mondial, à perpétuer la tradition de l'acupuncture (pour laquelle nous devons encore louer le peuple chinois, au même titre que la poudre à canon ou le Tibet libre).



Pourquoi aborder maintenant le sujet? Outre les contingences matérielles et la nécessite d'échapper aux agents gouvernementaux parvenus à dénicher l'endroit de ma retraite tamoule, il se trouve qu'un collaborateur que nous appellerons Olaf-Massimo Jeanne d'Arc (nom de code que les initiés perceront facilement à jour) m'a fait part de la parution dans la prestigieuse revue "Archive of internal medecine", que l'on qualifie de "peer reviewed" (c'est à dire que les articles publiés sont approuvés par la communauté scientifique), d'un article prouvant l'efficacité de l'acupuncture. Il convient de féliciter les médecins auteurs de l'article, allant contre l'intelligentsia en place et ne pa hésiter également à les soutenir dans les turbulences que va sans doute engendrer un tel article. Il est donc scientifiquement prouvé que oui, l'acupuncture a un effet bénéfique, ne serait-ce que pour le mal de dos (le manque de financement les obligeant à n'étudier qu'une pathologie, il fallut faire un choix, mais bien d'autres suivront). Les chinois, qui avaient compris l'intérêt de cette pratique depuis des millénaires (ainsi que les inconvénients que pouvait subir une femme à avoir de trop grands pieds), sont donc réhabilités, et la réticence à recourir aux méthodes dites traditionnelles de l'extrême-orient (hypnose, yi-king ou maoïsme) devrait prendre un coup certain avec cette publication.

Il convient de s'interroger sur cette réticence. Bien sur, on peut blâmer une société moderniste pour l'attrait du modernisme, qui souhaite le changement pour le changement, parfois en dépit du bon sens (commander un billet de train était bien plus facile sur minitel). Tout ce qui est moderne est encensé, quitte à être abandonné bien vite quand un nouveau gadget vient prendre la niche. Dans un tel climat, les pratiques millénaires comme la religion ou l'acupuncture sont forcément désavantagées. Mais dans le cas qui nous intéresse, il y a d'autres raisons.

En effet, l'acupuncture a pour base l'introduction sous le derme de fines aiguilles. Ces aiguilles ont tout à fait la forme requise pour participer à l'"effet de pointe", bien connu en électromagnétisme depuis Richard Feynman, qui explique facilement qu'un objet avec une pointe très prononcée génèrera la foudre (qui va, contrairement à ce que l'on pense, du sol au ciel), ou comme un gadget à la pointe de la technologie attirera l'attention. La pointe est en effet la source d'une singularité électrique (ou, suivant le cas, d'une singularité d'évaporation qui fonctionne sur le même principe, et explique assez bien la forme des tâches de café) qui génère des interactions très fortes avec l'environnement. Il n'y a ainsi rien de mystérieux au fait qu'une telle pointe puisse grandement affecter notre organisme.

Hélas, j'ai déjà donné quelques exemples (notamment avec les manipulations sur nos ondes quantiques) qui illustrent bien la bataille pour la conquête de notre organisme: celui qui les contrôlera imposera son nouvel ordre mondial. Et ceux qui tiennent le haut du pavé dans cette lutte ne voient pas d'une très bonne oreille que l'on vienne les déranger. En effet, de par leur action électromagnétique, les aiguilles d'acupuncture peuvent grandement perturber le champ des puces de marquage RFID qui se répandent à notre insu, au gré de telle ou telle intervention mineure. Si l'acupuncture venait à se généraliser, cette méthode de contrôle des populations serait rendue totalement inefficace, engloutissant des milliards de dollars en recherche et développement, ainsi qu'en corruptions diverses.
Un point d'acupuncture particulièrement efficace contre la manipulation quantique
Pire encore, cet effet de pointe n'est pas non plus sans conséquence pour les ajouts chimiques que nous subissons pour devenir plus dociles, moins gênants à contrôler pour nos gouvernements. Ainsi, de la même façon que pour la tache de café, les agents extérieurs chimiques auront tendance à aller se coller à l'aiguille, par liaison de ligand avec le métal, et finiront donc à l'extérieur de votre organisme. Si cela peut être bénéfique dans le cas d'agent pathogènes, on comprend la déconfiture que cela provoque chez ceux qui veulent nous tranquilliser à coup de produits de synthèse.

On comprend donc le pourquoi de cette campagne de dénigrement, cachée derrière un pseudo-modernisme. Toutefois, la publication de résultats probants en faveur de l'acupuncture va pousser certaines de nos élites (malheureusement, certains groupes comme les illuminatis ont d'autres moyens de contrôle) à changer de stratégie. Quant à nous, il convient que nous continuions la lutte afin que des pratiques millénaires de défense ne soient pas rejetés par une pseudo-communauté scientifique fermée à toute utilisation de méthode "traditionnelle". La route est longue, mais nous sommes sur la bonne voie, et celle-ci est sans doute pavée de bonnes surprise: aujourd'hui l'acupuncture, demain l'excision?