lundi 15 décembre 2008

Give me fuel, give me that I shall desire..

Cyclothymie du cirque médiatique oblige, tout comme le tsunami avait guéri la grippe aviaire ou les amourettes présidentielles calmé la grogne sociale, la crise financière à laquelle on tente de nous faire croie aura au moins eu un mérite: le baril a presque perdu 50% de sa valeur. Et du coup, on ne nous parle plus de restrictions, exit le battage autour des "solutions alternatives" (qui seraient vraiment alternatives si elles n'étaient pas l'apanage des mêmes consortii, masquant les mêmes happy few). Plus un reportage sur cette ferme qui se chauffe au purin, ou les bienfaits de la récupération du cérumen comme isolant thermique, bien que certains continuent à se plaindre du froid (tandis que les autres meuglent sur le réchauffement climatique), même si franchement, quand il fait ce temps là, c'est pas très malin de passer ses nuits sous une tente. Bref, nous n'avons apparemment plus de soucis énergétiques... jusqu'au prochain trou d'air dans l'actualité mondiale.

La vraie question que l'on doit se poser, après toute cette agitation autour de la flambée des prix du pétrole, est celle de notre dépendance aux hydrocarbures: sommes nous dépendants du combustibles, ou de ceux qui l'exploitent? Ces exploitants agissent ils pour le bien du plus grand nombre? A voir les mœurs de certains grands groupes (sécurité minimale pour l'extraction et le transport, avec les conséquences que l'on sait sur les huîtres et les plages, où l'on doit maintenant passer ses congés payés pataugeant dans les eaux de dégazages), on peut en douter. Et à voir les condamnations dérisoires qui s'en suivent, on ne peut qu'être perplexe.
A la vue des diverses annonces marketing de lancement de gammes "électriques" vite abandonnées par les constructeurs automobiles, dont les relations incestueuses avec les pétroliers effraient jusqu'à Outreau, on peut légitimement se dire que la dépendance envers l'essence est savamment entretenue.

Bien entendu, ça et là, quelques inventeurs géniaux bravent les interdits et la puissance des lobbys. Les militaires, au courant des avancées technologiques gardées secrètes par le conseil de surveillance de la Franc-Maçonnerie (composé principalement de membres du 3e cercle), disposent également de technologies très prometteuses, bien évidemment peu soupçonnée par le grand public, du fait de leur faible diffusion dans Auto-Plus ou Entrevue. Jetons un coup d'œil à quelques unes de ces technologies, tout en sachant qu'avec une telle chape de plomb, l'exhaustivité relèverait d'un miracle digne de la mort de Daniel Balavoine.

Le moteur Pantone

Dans un premier temps, pensons à la facilité: plutôt que de supprimer totalement l'essence dans nos moteurs, pourquoi ne pas chercher à en réduire drastiquement la consommation? Malgré nos préjugés, c'est assez facilement réalisable: c'est l'objet du moteur Pantone, qui permet de réduire la consommation d'au moins 50% en hydrocarbure. L'idée est simple: il s'agit de faire recirculer, au moyen d'une membrane cellulaire d'échange gazeuse, les gaz d'échappement à travers de l'eau. On obtient de cette façon un réacteur à plasma à réaction endothermique. Pour décoder un peu, les gaz d'échappement sont assez énergétiques pour, combinés à la vapeur d'eau ainsi créée, ioniser l'air et créer de cette manière un plasma. Ce plasma très énergétique servira à compenser de façon astucieuse une alimentation moindre en carburant. Il est de plus assez facile à concevoir et fabriquer, et l'on en trouve des plans fort bien conçus: c'est ainsi que votre serviteur a obtenu des résultats étonnants, se transformant en ingénieur le temps de modifier sa tondeuse à gazon.
Il va de soit qu'une telle réduction de la consommation n'est pas du gout des producteurs et distributeurs de carburant. Il n'y a donc pas grand chose d'étonnant dans les condamnations pour escroquerie de l'inventeur Paul Pantone par un juge dont la femme est étrangement... membre du conseil d''administration d'Exxon. L'aspect financier n'étant pas suffisant pour réduire notre empêcheur de surconsommer en rond, il a été placé de force dans un établissement psychiatrique où il est gavé contre sa volonté de médicaments. Heureusement, certains continuent à se battre et à expérimenter...

Il existe également des technologies que l'on soupçonne depuis longtemps d'avoir le potentiel pour empiéter sur le territoire du diesel: on peut citer par exemple les voitures électriques, la pile à combustible (ou la marche à pieds). Nous pouvons tous constater à quel point nous avançons à reculons sur ces projets: pas assez rémunérateurs, ils restent à l'état de curiosité pour apaiser les écologistes mi-acharnés (les plus acharnés vivant de toutes façons dans des arbres bien loin de toute cette agitation). Les crédits alloués aux équipes publiques ont de l'aveu même du CNRS (et de son directeur, qui continue à nier farouchement, très farouchement, trop farouchement sans doute, des liens éventuels avec la section parisienne des Illuminatis) été placés vers des champs plus porteurs (OGMs et générateurs d'ondes, surement). Il existe également, hors du champ que nous pouvons initier, une source de savoir alternative, les exo-technologie, collectées depuis plus de 50 ans par les différentes armées mondiales sur les différents OVNIs.

Une exo-technologie: l'utilisation des ondes scalaires

Parmi ces technologies, deux semblent assez symboliques et compréhensibles par nos cerveaux terrestres: la propulsion par onde scalaire et la psychotronique.
La première se comprend assez bien dans la théorie des ondes (cette fois-ci, ne nous tournons pas vers Gabriel Lafrenière mais vers un autre spécialiste mondial des ondes, dont les travaux sont visibles en version simplifiée sur la Toile): si l'on envoie deux ondes en opposition de phase, les vibrations se compensent, mais les énergies s'additionnent. Ainsi, en chaque point du vide existerait donc ces ondes énergétiques. Elles ont l'avantage d'être productibles assez facilement par l'homme, en utilisant deux émetteurs (qui peuvent être aussi simples que les hauts-parleurs de l'enceinte qui crachouille RFM dans votre bureau toute la journée). Le principal effet est la possibilité de faire entrer ces ondes en résonance entre deux corps:
Résonance des ondes scalaires entre deux corps

On peut ainsi créer un effet de répulsion énergétique entre ces corps, ce qui correspond parfaitement à de l'antigravité. Ainsi, on peut parfaitement réduire de façon drastique la consommation d'un des moyens de transport les plus consommateurs, l'avion. Mais est-ce possible en pratique? Pourquoi parler d'exo-technologie? La réponse à ces deux questions se trouve dans les camps de l'armée rouge en ex-Kazakhstan, il y a quelques 30 ans. C'est à cet époque, raconte le savant Youri Petrovitch (Dr en Physique et responsable d'un département d'étude de l'armée de l'air soviétique) qu'a été retrouvé un module d'origine visiblement extra-terrestre utilisant ce mode de propulsion, qui semble donc être utilisé par les peuples dont on nous cache l'existence.

Ironie du sort, les visiteurs intéressés par le tourisme intergalactique de l'autre côté du rideau de fer utilisaient un autre technologie plus aisément compréhensible, mais paradoxalement plus difficilement théorisable: la psychotronique. Celle-ci utilise un principe que nous connaissons et expérimentons tous: le pouvoir de l'esprit sur la matière. Celui-ci est connu depuis longtemps, des guérisons miraculeuses (actions de l'esprit sur le corps) aux travaux sur la biodyne ou les expériences d'Uri Geller (torsion d'objets métalliques à distance), en passant par le spiritisme. Pourquoi ne pas utiliser ce principe pour contrôler et propulser des véhicules? En tout cas, d'après de nombreux ufologues et spécialistes aérodynamiques, c'est ainsi que se déplaçaient plusieurs des véhicules récupérés au Nouveau-Mexique. Mais il semble malheureusement compliqué pour le moment de transférer cette technologie aux humains: celle-ci n'a été étudiée qu'à partir de véhicules accidentés. Si les systèmes semblent en bon état, notre manque de compréhension de la biologie et de l'anatomie des pilotes pose problème. Il faut donc attendre un échange "actif". Celui-ci a peut être par ailleurs déjà eu lieu dans le passé, et balayé par les affres de l'histoire. Cela expliquerait alors cette peinture retrouvée dans une sépulture maya, peuple que l'on soupçonne d'avoir connu des avancées technologiques qui nous dépasseraient, et de façon inexpliquée si l'on écarte les contacts avec d'autres civilisations plus avancées...
L'astronaute Maya

Il existe donc de nombresuses formes d'énergies étouffées, par pur intérêt financier. Cela étant dit, comment se passer d'une énergie qui nous procure la joie de voir enfin ces mouettes qui nous cassent les oreilles recevoir une bonne leçon?

jeudi 4 décembre 2008

!nataS fo ecived: lloR N kcoR

Le vingtième siècle a vu une grande émancipation des arts, certains sortant de la confidentialité (comme la photographie), d'autres devenant accessibles au plus grand nombre (comptez le nombre d'Ipods dans le métro, même si l'appellation "art" plaquée sur leurs contenus est peut être aussi adaptée que l'étiquette "Harley Davidson" sur une motocrotte). Parmi ces arts, donc, la musique pourrait symboliser le passage d'un monde sagement cloisonné à un monde de "masse": production de masse, diffusion de masse, consommation de masse, ne nous étonnons donc pas de notre surplus musical, de ces bourrelets de mélodies adipeuses qui nous encombrent un cerveau que nous n'oserons pas exhiber sur les plages cet été, et que nous camouflerons donc pudiquement derrière le spécial télé-réalité d'Entrevue. Mais revenons au sujet qui nous (en tout cas moi, et je garde une certaine prétention à l'universalité) intéresse: la musique, et plus particulièrement celle qui fut appelée la "musique du diable", le Rock n Roll.
Le Rock n Roll fut l'un des premiers mouvements culturel à avoir une influence de masse sur les populations, déplaçant des foules comme en aurait rêvé un Néron pour ses plus belles déclamations, par stades entiers, et ne laissant que peu de gens indifférents. On peut donc facilement comprendre pourquoi cette musique est devenue l'enjeu d'une vraie lutte de pouvoir entre les groupuscules qui prétendent à la place d'élite mondiale.

Dès les premiers notes de rock n roll, ou des quelques prédécesseurs, les courants conservateurs derrière lesquels s'abritent les groupuscules traditionnalistes( Opus Dei, Prieuré de Sion et kabbale traditionaliste) se sont déchaînés contre les prémices de cette musique. Ainsi, le premier rockeur, ou bluesman à l'époque, Robert Johnson, fut accusé de pactiser avec le diable. Les rumeurs courant à son sujet disent qu'il aurait vendu son âme au Malin,au croisement de deux routes, en échange du talent qu'on lui connait. On sait depuis que les hommes de l'ombre du Vatican furent pour beaucoup dans ces histoires, mais que celles-ci ne sont pas tout à fait infondées: Robert Johnson appartenait à une secte très restreinte mais dont l'influence ne faisait que grandir, les Samedis, dont le principal pouvoir venait du vaudou Haïtien (une forme éloignée et bien plus terrifiante que nos vieux clichés des épingles que l'on enfonce dans une poupée à l'effigie d'un ennemi ou d'un chef de l'executif d'extraction hongroise). Dès le départ, nous voyons l'affrontement entre des forces émergentes qui se servent du rock n roll pour semer un esprit de révolte, et les forces au pouvoir qui font tout pour minimiser le phénomène.


Découvrez Robert Johnson!


Il est à peu près évident que le Rock, avec ses prédécesseurs, aida à briser le tabou racial dans des Etats-Unis encore bien marqués par la ségrégation. Quand des blancs (Elvis, puis les Beatles) osèrent jouer cette "musique de nègre", les américains se rendirent comptent qu'ils n'étaient peut être pas si différents. Les Samedis avaient réussis en partie leur coup, et pouvaient espérer que l'élite gouvernante mondiale ne resterait pas 100% blanche. L'Eglise et l'establishment continuèrent à tirer à boulets rouges sur cette musique de sauvage, mais rien n'y fit.
Et la diffusion de masse arrivât. Au vu de l'importance de rassemblements comme celui de Woodstock, il devient assez évident que le rock n roll peut devenir une arme non négligeable dans le contrôle et la manipulation des populations. C'est ainsi qu'apparurent ses avatars les plus connus, les messages subliminaux cachés dans certaines chansons. Il n'est d'ailleurs pas anodin de remarquer que le père des messages subliminaux, le sorcier bien connu (versé notamment dans la magie sexuelle, et grande influence d'Anton LaVey et des satanistes modernes), apparaît sur un album des Beatles, qui les premiers placèrent ce type de messages (voir "Revolution 9", à l'envers, assez explicite).

En rouge, le visage d'Aleister Crowley, auto-proclamé "la grande Bête 666"

Ces messages sont en fait des injonctions qui marquent notre cerveau sans que l'on s'en rende vraiment compte (à la manière d'un slogan publicitaire ou du sourire rayonnant de la fille de la bouchère), permettant de manipuler tous les auditeurs des disques en question. Toutefois, la supercherie est détectable: dans les cas simples, il suffit de jouer le disque à l'envers. Une légende lancée comme un écran de fumée, pour distraire de la manipulation possible, dit que Lennon se serait trompé dans un enregistrement, et aurait trouvé le résultat joli (bien naïf qui peut penser qu'une technique si destructrice relèverait du simple hasard). D'autres techniques sont plus sophistiquées, et passent donc plus inapercues: ainsi si vous écoutez "Let it be", en ne passant qu'une seconde sur dix, après la première minute on entend clairement "Marx was wrong" ("Marx n'avait pas vraiment raison"), de même la célèbre caisse enregistreuse de "Money" de Pink Floyd n'est en fait que le serment des Illuminatis passé en accéléré (mais beaucoup devaient avoir la puce à l'oreille, la chanson étant bâtie sur 7 temps, nombre fétiche d'Adam Weishaupt, et la pochette de lalbum, "Dark side of the moon" dont le titre est déjà évocateur des puissances cachées, montre comment la pyramide de l'ordre change ce que nous percevons). Ces techniques sont depuis tombées en désuétudes, rendues obsolètes par des technologies bien plus efficaces (la manipulation de nos ondes quantiques par HAARP, par exemple).

Le Rock, une arme politique en plein coeur de la guerre froide

Le Rock tint bien entendu toute sa place dans la grande bataille secrète qui se manifesta par la guerre froide. Dans des sociétés occidentales où la liberté d'expression était portée aux nues et le mythe du rebelle (depuis James Dean, dont le père fut cadre du Parti, et son "rebel without a cause") constituait un bon moyen de remettre en cause le régime en place, les "puppets masters" derrière le soviet suprême ne pouvaient pas laisser passer l'occasion.
La musique rock prit donc une grande part dans la contestation des régimes capitalistes, avec la vague anti-VietNam, et les atteintes pseudos anarchistes de punks qui s'affichaient volontiers avec les couleurs communistes (les Ramones), ou en s'en prenant aux symboles de l'autorité ("god save the queen" par les Sex Pistols). Dans la même veine viendra quelques années plus tard le rock ouvertement sataniste, avec ses avatars américains (Deicide ou Marylin Manson) ou scandinaves (les amis de Burzum et Mayhem responsables de l'incendie de plusieurs églises novégiennes). La réaction n'est pas en reste, et les interdictions pleuvaient. Et pour éviter que certaines fortes têtes n'aient la langue trop bien pendue, la manière forte était parfois nécessaire: on sait que Syd Barret (Pink Floyd) a disparu plusieurs jours aux alentours d'un camp militaire anglais avant de réapparaître drogué et fou, ou qu'il reste certains détails fort troublants révélés à l'autopsie de Sid Vicious (Sex Pistols), comme le fort taux de radio-activité de son corps ou la mention de ce "grand gaillard au fort accent russe" fort peu souvent évoqué, aperçu sortant de chez lui peu avant sa mort.

Fort heureusement, de nos jours cette rivalité s'est estompée, et nous baignons dans la culture de masse incolore, inodore et sans saveur. La devise du Rock, "sex, drugs and rock n roll" bat paradoxalement son plein: nos élites ne cherchent qu'à nous renfermer sur nos petits plaisirs et nous abrutir, en maintenant l'illusion d'une révolte possible. Les icones elles-même sont symptomatiques, quand l'idole des adolescentes est plus Justin Timberlake qu'Elvis the Pelvis, et que l'ange aux ailes brisées par la fatalité n'est plus Sid Vicious, mais Grégory Lemarchal, on sait que le temps de la lutte est bel et bien passé.

lundi 10 novembre 2008

Le monde des ondes

Le projet HAARP, en Alaska

C'est LA grande révolution du siècle dernier, devant le taylorisme, le toyotisme ou l'invention des parcmètres automatiques: depuis la grande année de 1905, plus rien n'est pareil, nous sommes rentrés dans le monde quantique. Comme beaucoup d'entre nous, mes modestes études m'ont longtemps limité dans la compréhension de ces théories obtuses, mais au fil de ma carrière, j'ai pu dialoguer avec quelques spécialistes, comme le physicien québecois Gabriel Lafrenière, découvreur des ondes éponymes, qui m'ont permis d'y voir un peu plus clair. Et l'idée principale reste accessible: c'est la dualité onde-corpuscule. Pour simplifier, à tout corps solide ou liquide correspond une onde particulière.
C'est peut être un gros coup porté à l'orgueil humain, mais c'est ainsi: nous tous, simples citoyens, artistes de génie ou manipulateur de l'ombre, pouvons être résumés à une onde quantique, comme un poney ou une étoile de mer (qui, d'après les derniers calculs en cours à une onde étant fort proche de nous). Et ces ondes, en plus de nous donner en théorie des capacités extraordinaire (comme l'effet Tunnel qui fait rêver plus d'un cambrioleur), peuvent se manipuler comme n'importe quelle onde. Et notre savoir en terme de manipulation d'ondes ne fait qu'augmenter.

Ainsi, les recherches dans le domaine des ondes ne cessent de progresser. Et même parfois avec des objectifs très étonnant, comme ce laboratoire parisien qui travaille à la fois sur le voyage dans le temps et sur des ondes thérapeutiques pour soigner les tumeurs. On peut aussi et surtout citer l'énorme installation du projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program), dans les montagnes perdues d'Alaska (non loin du désormais célèbre Bridge to Nowhere), qui derrière une façade officielle d'investigation spatiale cache à la fois des communications extra-planétaires (de nombreux faits ont été déjà observés, en augmentation nette ces dernières années) mais surtout de puissant émetteurs capables d'arroser toute la planète de leurs ondes, et certains lui attribuent même certains agrogrammes (mais l'expérience de J. Verne nous prouve que ce phénomène est bien plus ancien, ne sombrons pas dans la paranoïa). Certaines armées, comme Tsahal, toujours à la pointe de la technologie, sont en phase de finalisation de plusieurs armes ondulatoires, capable de causer des dégâts extrêmes en ignorant la sauvegarde corporelle que pourrait fournir un blindage ou une armure.

Une arme ondulatoire (micro-ondes) pour le contrôle des foules

N'oublions pas non plus que le domaine civil est également de plus en plus friand des ondes. Depuis le domaines médical ( l'échographie utilise le rebond des ondes dans notre corps) jusqu'aux médias et télécommunications, nous baignons dans les ondes depuis très longtemps. Même si l'on pourrait s'attendre à une diminution avec les progrès télévisuels, et la réduction des émissions hertziennes, l'avènement du téléphone portable et du protocole WI-FI a fait exploser les ondes auquelles nous sommes quotidiennement exposés. Certaines personnes, comme le collectif des electro-sensibles, tentent de nous sensibiliser à se problème.

Des électros-sensibles se protégeant des ondes qui les assaillent


Car toutes ces ondes qui nous entourent peuvent influer avec nos ondes quantiques. Certains malheureux ont ainsi une onde quantique qui est fortement perturbée par les interférences des téléphones portables, d'autres à celles du WI-FI. Cela se traduit par un sentiment d'oppression pouvant tourner à la panique. Ce n'est pas surprenant, puisqu'il s'agit là des mêmes mécanismes qui nous effraient lors de manifestation de spectres, qui eux aussi tirent leur énergie de nos ondes quantiques (on utilise pour les repérer des détecteurs d'ondes électro-magnétiques), et qui nous plongent dans le même effroi irraisonné. Le calvaire de ces personnes ne peut malheureusement être que mis sur le compte de la malchance.
On peut alors vite comprendre l'intérêt que peut avoir un gouvernement mondial à manipuler nos ondes quantiques. Rien qu'en augme tant la puissance des antennes de GSM, il peut facilement pousser les citoyens vers un peu plus de peur, un peu plus de panique. Mais il s'agit là d'une technique grossière, que tente justement de raffiner la zone Beta du projet HAARP (les antennes étant divisées en trois zones, suivant leur emploi, communication, manipulation, destruction). En interagissant via les ondes, les antennes sont capables sans que nous ne nous en rendions compte de modifier nos ondes quantiques et donc nos comportements. On peut ainsi supposer que les tests dans l'Alaska, qui ont permis la mise en place de la gouverneur actuelle, ont été un succès.
Cette méthode comporte l'inconvénient, m'objecterez vous, de toucher tous les individus, puisque touchant directement les ondes quantiques. Ce n'est vrai que dans une certaine mesure. Elle touchera sans doute une grande partie de la population, mais les dirigeants de l'ombre ont eu de la chance: l'onde quantique des reptiliens infiltrés parmi les hautes sphères est très différente de celle des humains. Bien entendu, nous ne pouvons le remarquer, à cause de leur talent dans le travestissement, mais eux restent insensibles aux rayons HAARP.

Il est je pense nécessaire que la population connaisse aussi bien les avantages que les désavantages de l'utilisation outrancière des ondes. Libre ensuite à chacun d'estimer si il est prêt à sacrifier une partie de sa liberté de penser et de son indépendance d'esprit pour savoir "quel partenaire éviter" en envoyant "SIDA" au 8 12 12.

vendredi 7 novembre 2008

Embrigadement et sciences occultes: l'avènement du numérique



Le monde actuel est en pleine mutation, nous entrons dans l'ère des télécommunications. Ces média émergents multiplie d'autant les conditions de lutte, offrant certes une tribune accessible aux tireurs d'alarmes et à ceux qui se battent contre la poudre que l'on nous jette quotidiennement aux yeux, mais accroissant exponentiellement les possibilités de contrôle des élites mondiales. Ainsi, ils sont bien entendu au courant de toutes les informations que vous consultez, de tous les contacts que vous prenez. Même si comme moi vous prenez soin de ne vous connecter que depuis des lieux publics, payant en liquide avec des billets selectionnés, les puces RFID implantées sur 75% de la population font de toute façon leur travail. L'arrivée de cette révolution a bouleversé un grand nombre de comportements, et la manipulation de masse n'y a pas échappé. Pour preuve, reprenons l'élection perdue par John Kerry en 2004, les puissances derrières les démocrates ayant conservé les méthodes "humaines" archaïques, là où les reptiliens, qui chapeautent comme tout le monde sait le Grand Old Party, ont tout misé sur le numérique, avec le succès que l'on connait (cette fois, nul besoin de s'appuyer sur la CIA et de trafiquer les votes de Floride).
Cette révolution a bien entendu touché un des moyens favoris d'embrigadement de la jeunesse aisée, les jeux de rôles. Pour ceux qui ne seraient pas familiers de ce système (je ne vous jetterai pas la pierre, l'ayant moi même découvert un peu par hasard, suite à une enquête sur une série de suicides), il s'agit de séances de groupe, où les participants tentent de vivre une histoire, inventée par un "Maître du Donjon" ("Dungeon Master", dans la langue créatrice). On voit tout de suite la volonté d'endoctrinement, propre aux sociétés secrètes (le jeu de rôles est d'ailleurs dénoncé par des associations de défense des individus contre les sectes ): l'établissement d'une stricte hiérarchie. Les participants sont d'ailleurs à la fin de chaque partie récompensés par leur Maître, ce qui pousse encore à la soumission et à la fidélité, et dans les manuels destinés à la formation des maîtres de donjons, l'accent est mis sur les liens que l'on doit tisser entre le joueur et son personnage, afin d'établir une dépendance psychologique. Rien qu'en France dans la dernière décennie, plus d'une centaine d'adolescents se sont ou on tenté de se donner la mort suite à la perte de leur personnage, ou à leur exclusion du groupe par un Maître suspicieux.
Ne perdons pas de vue que ces groupes, extrêmement soudés et solidaires, et déconnectés de la réalité grâce aux techniques de manipulation du chef de groupe, peuvent être extrêmement efficaces. A la manière d'une cellule dormante œuvrant pour le jihad international, ce groupe peut à la fois fidèle et dissimulé peut être utilisé pour des actions d'éclat. On se souvient notamment des évènement de Columbine, où deux adeptes du jeu "Dungeons & Dragons" se sont sacrifiés pour jeter l'opprobre sur une culture de la contestation qui devenait des plus en plus gênant chez les jeunes.
Une culture qui atteint même les plus grandes universités (ici au MIT).

Mais voilà, le grand réseau a débarqué, transformant par la même ces petites brigades isolées en une communauté globale. D'autres acteurs sont venus prendre part à la lutte, pour le compte de nouvelles organisations (étrangement, une bonne partie des dirigeants de la société Blizzard Entertainment, leader sur le marché des Jeux de Rôle en ligne, sont liés de près ou de loin aux Marksmen, cette division un peu particulière du FBI). Et la lutte fait encore rage, mais peut être plus pour longtemps. Car si Internet a bien modifié quelque chose, c'est l'échelle du phénomène (si quatre étudiants peuvent bouger le monde avec un attentat bien placé, plusieurs centaines de milliers eux le changeront de façon plus subtile, par leurs votes par exemple). Car, grâce au sentiment d'anonymat (ne nous y trompons pas, cela ne reste que l'illusion, comme celle de croire que la Ligue des Champions n'est pas jouée d'avance), les groupes deviennent plus nombreux, et l'individu est encore plus effacé. La technique de propagande peut elle aussi s'améliorer, grâce au nerf de la guerre, l'argent. Car ici, plus question d'embrigadement artisanal, où seule l'imagination, trois dés et deux morceaux de papier étaient requis. Désormais, on paye un abonnement, on paie même des gens pour 'occuper de son personnage (cette technique dite du "farming" est en pleine expansion). Et grâce à ces sommes colossales engrangées, le système s'entretient, et devient de plus en plus performant. Les progrès ont notamment été faits en terme d'addiction, comme le prouvent des situations a priori invraisemblables comme celle de Sun Ji Park, coréen mort d'épuisement devant son ordinateur.Récemment, certains jeux stimulent même cette fameuse puce RFID mise dans nos cuisses à la naissance, pour provoquer une dépendance physique au jeu.
Dès lors, le recrutement et la fidélisation sont grandement facilitées, et l'on voit énormément de jeunes consacrer leurs vertes années à un personnage virtuel, entouré de camarades désincarnés. Et nul doute que les premiers évènements marquants ne vont pas tarder: si deux jeunes mal habillés ont pu faire trembler l'Amérique de peur devant sa jeunesse, quel pourrait être l'impact d'une armée de jeunes fanatisés toujours plus nombreux (n'est il pas terrifiant de savoir qu'il y a plus de joueurs du célèbre "World of Warcraft" que d'habitants en Bulgarie, ce qui en dit long sur l'avenir de notre jeunesse et de l'industrie du yaourt)?

lundi 27 octobre 2008

20 000 lieues sous le secret



Anticipateur de génie, écrivain d'avant-garde, les qualificatifs dont fut affublé Jules Verne ne manquent pas. Sous-marin, dirigeables et autre aéronefs spatiaux peuplent ses romans, le plaçant à la pointe de la technique de son temps, voire bien souvent en avance. Comment ce curieux de nature, ignorant de bien des lois qui gouvernent les esprits de la science officielle, a t il pu être si souvent dans le juste, là où certains mediums-couturiers se trompent du tout au tout, malgré une masse d'information disponible bien plus importante?
Certes, les opposants du grand Verne, ceux qui ne voient en lui qu'un auteur de livres pour enfants sans grand intérêt (les livres autant que les enfants, connaissant l'aridité de la cage thoracique des "sceptiques"). Que quelqu'un de bien informé, qui ne fait que traduire les avancées d'une époque qui restera le bouillon de culture, la soupe primordiale des techniques actuelles. Que le sous marin était dans l'air du temps, aussi bien que les grandes découvertes de la géologie.
La vérité, celle que l'on ne lira bien sur pas dans les livres d'histoire, est à la fois plus simple et plus étonnante. Qui d'autre que Jules Verne, avec son style si reconnaissable, pourrait nous raconter un évènement qui changea définitivement sa vie:
"Un soir, alors que je feuilletais un périodique qu'un ami m'avait rapporté de Londres, je jettai un oeil las dans la campagne nantaise. D'habitude calme dans la froideur de l'hiver, je fus étonné d'y voir trois petites lumières blanches. Bien que tentant de me convaincre qu'il s'agissait là d'une cariole rentrant un peu tard d'un marché des environs, l'étrange ballet du trio lumineux m'intrigua de plus en plus. Au bout de quelques secondes, il me fallut me rendre à l'évidence: je ne connaissais aucune cariole capable de se déformer ainsi, ni aucun être capable de se mouvoir à une telle vitesse. Puis, presque instantanément, les lumières disparurent, laissant la Loire sans autre moyen que les étoiles pour percer les ténèbres.
Vous connaissez, cher ami, l'instinct qui me pousse vers l'inexplicable. Avec Philéas [ndr: son épagneul], ous nous rendîmes sur les lieux. Et quelle effroyable beauté! Quel intriguant message: sur place le blé était couché, de façon à reproduire cette spirale parfaite que, collégiens, nous essayions malhabilement de tracer à longueur de leçons de géométrie. Le blé était couché dans un seul sens, et mon fidèle Philéas, pour une raison que je ne comprenais pas, resta en dehors du cercle, visiblement apeuré."
Jules Verne, correspondance avec Michel Carré

Ainsi, très tôt dans sa jeunesse, notre écrivain se trouva en présence d'agrogrammes, ces figures géométriques observées dans différentes cultures, notamment dans le Sud de l'Angleterre, laissé comme point de repère par les visiteurs d'Outre Terre. Cette spirale (décrite dans un croquis qui ressemble à s'y méprendre à un agrogramme anglais d'il y a quelques années) marqua tellement le jeune Jules qu'il veilla de nombreuses nuits, attendant le retour de son trio lumineux. On peut d'ailleurs retrouver cette spirale sur la couverture de bon nombre de ses livres.
Voyez les spirales dans les coins du haut de la couverture...
...et l'agrogramme "historique" vu par Jules Verne.
Mais, me remarquerez vous à juste titre, en quoi l'observation d'une forme géométrique, d'une oeuvre d'art sur un support aussi singulier, peut il apporter des connaissances techniques aussi impressionantes que celles de Jules Verne?

La réponse est là encore enfantine et stupéfiante, et largement inconnue. Et pour cause, à l'époque de la naissance de la toute puissance de la science officielle et de la rationnalité terre-à-terre, parler de telles choses lui aurait couté le peu de crédit qui lui permit d'être édité. Mais la vérité nous a été révélée par une indiscrétion du fils de Jules Verne, Michel Jean. Au cours des soirées mondaines à laquelle il participait avec son actrice de femme, et sans doute un peu trop du sang de Bacchus, il commit l'erreur d'affirmer qu'il avait vu régulièrement son père, après l'apparition de lumières éblouissantes, en grande conversation avec des êtres étranges, plutôt petits et grisâtres.
L'anecdote pourrait faire sourire, mais elle est à mettre en perspective. Ainsi, sommes nous surs que les avancées techniques de la révolution indutrielle et d'après sont dus à l'esprit humain? Thomas Edison racontait déjà les transes qui lui inspiraient ses découvertes, et qu'il attribuait à un Dieu chrétien. Marie Curie parlait elle aussi d'idées soufllées par un "ami" qu'elle entendait dans sa tête.
Et c'est sans compter toutes les inventions, qui ont depuis eu un impact énorme, comme l'aviation ou les sous-marins, développés par les différentes armées. Et depuis l'affaire de Roswell, il n'y a plus aucun doute sur les apports technologiques de races non-terrestres au domaine militaire. Et c'est de la même façon que notre ami Verne aurait eu ses géniales inspirations: en conversant avec ces peuples des étoiles, à propos de techniques qu'ils avaient déjà prévues de transférer à l'espèce humaine. Et la stratégie n'est pas anodine.
Comment prendriez vous la nouvelle, si on vous annonçait de but en blanc que nous sommes capables de voler? Heureusement des écrivains étaient là pour préparer le public. Un nouveau genre de propagande était née: la science-fiction! Cherchez bien dans les écrits de Jules Verne: alors que la question d'une intelligence extra-terrestre a toujours fasciné les hommes, depuis les incas qui décrivaient les vaisseaux des Alien Life Forms, aux kabbalistes qui dialoguaient avec ceux-ci, jamais l'écrivain n'en parle dans ses écrits. Lui, le chantre de la nouveauté, le héraut de la terra incognita, évite soigneusement le sujet, mis en garde par ses interlocuteurs intergalactiques. Dans un silence semblable à celui d'un KGB des grands jours, il se contentera de pieuvres géantes et de quelques allusions ici ou là. Car nous le savons bien, malheur à ceux qui se mettent en travers des chemins stellaires.

lundi 20 octobre 2008

La "crise", le bon prétexte...


Plus rien n'a d'importance, sauf les chiffres qui défilent sur les écrans de deux ou trois places dans le mondes, qui n'en finissent pas de diminuer. Ca y est, c'est la crise. La récession. Le krach. La fin d'un monde pour certains, l'espoir de lendemains qui chantent pour d'autres: l'univers capitaliste touche t il à sa fin? Doit on se tourner vers d'anciens idéaux, quitte à se livrer à une nécrophilie aveuglée par l'amour idéologique et la crainte.
Et la crise semble rendre tout le reste accessoire. "Ce n'est pas l'heure des critiques" nous lance t on sur un ton moralisateur que n'aurait pas renié un Laval au lendemain de la grande déroute. Fermez les yeux sur tout ce que vous voyez, l'important est l'unité nationale. On a déjà vécu cela, les plus vieux et les nostalgiques de Brasillach s'en souviennent amèrement. "Tais toi et marche", voilà le leitmotiv médiatique. D'ici à ce que la "crise" s'essouffle, notre oligarchie trouvera bien un autre prétexte pour en appeler à l'union sacrée, quitte à sacrifier quelques boeing pour relancer le bâtiment (et accessoirement éliminer archives et personnel gênant). En attendant, le prétexte actuel, c'est la dégringolade des marchés financiers.
Et depuis longtemps, la banque et la finance ont été étroitement mélés aux élites. Tout d'abord, grâce à leur intervention sacrilège au coeur même de nos traditions:
36 Tu ne tireras de lui ni intérêt ni usure, tu craindras ton Dieu, et ton frère vivra avec toi.
37 Tu ne lui prêteras point ton argent à intérêt, et tu ne lui prêteras point tes vivres à usure.
Lévitique 25:36-37

Le vulgus pecum, l'homme du peuple de la religion qui s'est imposée (que l'on a imposée) dans tout le monde civilisé se retrouve de facto exclu de ce monde lié de très près aux sphères du pouvoir. L'idée est basique: si un pôle est essentiel au maintien du pouvoir (et l'on parle bien du nerf de la guerre), confiez le à un petit groupe. Mieux: ce groupe se retrouvera forcément, au gré de l'histoire, montré du doigt. Pour ne pas prendre de risques, il vous suffit de confier votre pouvoir à un groupe que vous contrôlerez dans l'ombre. Si des velléités patricides sont trop ostensibles, retournez l'opinion contre ce groupe, et remplacez le.
Ainsi, dès les balbutiements de la finance, durant le Moyen Age, les chretiens ne pouvant se livrer à l'usure laissèrent le créneau au peuple d'Israël. Loin de moi l'idée d'agrémenter le cliché du Juif aux doigts crochus qui aime l'argent, le peuple juif n'a été que l'instrument du gouvernement Illuminati (je pense revenir sur les avatars de cet antisémitisme destiné à se débarassé d'un subordonné devenu trop ambitieux). Ainsi, il leur fut facile de lancer des rumeurs malfaisantes et de déchaîner l'antisémitisme quand ce peuple parut trop proche du pouvoir réel. De nos jours, la finance reste dans les mains d'un petit réseau d'initiés.

Maintenant, il faut se demander: mais pourquoi maintenant? Le timing est assez heureux: les américains s'apprêtent à croire élire leur futur dirigeant, la peur du terrorisme s'essoufle un peu partout dans le monde, et de nouvelles forces émergent. Notons par exemple le renouveau, au moins sur la scène internationale, du grand bouc émissaire du gouvernement mondial du siècle dernier: la Russie. Antisémitisme d'état (rappelons que les services secrets du tsar sont à l'origine des célèbre protocoles des Sages de Sion, coup dur porté aux instruments des Illuminati par leurs adversaires de toujours), communisme, terrorisme nucléaire... La Russie a toujours été relativement hermétique aux élites mondiales. Et avec l'imbroglio Géorgien, le doute revient.
Il est donc temps que le bas peuple que nous sommes reprenne foi dans le système établi. Et ne se sent on pas plus proche de quelqu'un quand celui-ci est à l'article de la mort, ou du moins quand on le croit tel?
Avec une maitrise sur les marchés financiers, il est facile de simuler une crise grave. Oh bien entendu, les rouages essentiels du système ne seront pas vraiment mis en danger, on le voit bien: dans un climat d'austérité voire de décroissance, les états sont capables de mobiliser des sommes colossales pour écoper et boucher d'illusoires brèches. Finalement, seuls quelques pauvres bougres de Cleveland perdront leur maison, la mauvaise graisse de Wall Street risque de passer à la liposucion, mais au final, rien ne changera et vu de France, la crise sera oubliée d'ici Noël, et nous trinquerons autour de la dinde aux vertus du capitalisme.
Par ailleurs, il reste quelques marques de l'emprise occulte de ces groupuscules. Ainsi, lorsqu'on regarde les cours de la bourse actuelle, on voit assez nettement se découper un symbole tristement célèbre: la pyramide Illuminati! On notera aussi les couacs du marketing présidentiel. Dans un élan populaire, notre Naboléon annoncait dès sa campagne son intention d'"assainir" le milieu de l'usure. Avant un magnifique volte-face, d'abord en annoncant son envie de dépénaliser les délits financiers, et abandonnat l'idée de légiférer sur les fameux "parachute dorés". On voit bien que le gouvernement occulte s'est chargé de préserver son pré carré. Qu'il s'occupe des top model et de l'hymne national, le Président de tous les Français, qu'il laisse l'argent aux sphères autorisées.

Français, citoyens du monde, ne vous laissez pas influencer: ne croyez pas à cette crise qui ne vous concerne pas, et n'est pas grand chose de plus qu'un écran de fumée. Il y aura bien quelques victimes expiatoires, pour faire bon ordre, mais le grand public devrait en souffrir comme du bug de l'an 2000.

mardi 14 octobre 2008

Les martyrs de la science officielle...

De tous temps (pour paraphraser le meilleur des dissertations de la troisième B du Lycée Ayrton Senna), la science n'a eu de cesse de se remettre en cause. Copernic, Einstein sont si reconnus car ils ont su aller contre les dogmes de l'époque, avec des hypothèses qui semblaient folles à l'époque. On pourrait penser que depuis la chute de l'Eglise qui n'était plus assez efficiente pour le gouvernement mondial (dont on peut penser en sus qu'une partie lui en voulait, à cette bonne vieille Eglise), depuis la "révolution quantique" d'un petit employé de l'Office des Brevets de Berne et à l'heure de l'information (voire la désinformation) tous azimuts, nous avons assez de recul pour analyser tranquillement toutes les nouvelles théories, sans s'en référer sans cesse au dogme. On est étonné de voir qu'en France, pays qui se veut ouvert, quand même l'indignation scientifique n'est pas suffisante, les "pontes" s'en retournent vers la justice, pour de véritables procès qui auraient peut être arraché un sourire à ce bon vieux Torquemada. En voici deux exemples.

Parlons en premier lieu du cas de Jean-Claude Pinoteau. Replaçons nous dans le contexte.
Tout commence avec l'annonce du laboratoire de zététique de Nice et du cercle zététique suisse (la zététique étant une branche de la science sensée cultiver "l'art du doute") d'un "Prix-Défi International" de 200 000 euros. Ce prix est fait pour être accordé à quiconque doté de pouvoirs que la science ne peut expliquer. Bien entendu, les conditions d'attribution sont si drastiques que peu arrivent jusqu'à la phase de test, et les "scientifiques" imbus d'eux même peuvent se reposer avec suffisance sur leur savoir officiel, et rejeter en bloc tout ce qu'il ne comprennent pas.
Arrive alors Jean-Claude Pinoteau. Autodidacte de la science, il s'adonne chez lui à quelques expériences sur le magnétisme humain, et tente de théoriser le rayonnement magnétique humain (qui n'est plus contesté que par certains obtus) par un fluide nommé biodyne. Ce rayonnement est à l'origine de nombreuses observations curieuses.
Citons d'abord l'expérience du docteur Hongrois George Egely, et sa fameuse roue:
La Roue d'Egely, sur http://www.kirlian.org/interesting/egely/index2.htm
Le principe de cette roue est assez simple: très légère, elle se met facilement en mouvement, notamment grâce au magnétisme humain, à la biodyne. En approchant ses mains, l'utilisateur va mettre en mouvement la roue plus ou moins rapidement. Egely propose d'ailleurs d'utiliser ce mouvement pour évaluer la vitalité de l'utilisateur.
L'expérience proposée par M. Pinoteau est d'une simplicité qui fait penser à ces expériences du "petit physicien". Elle est d'autant plus surprenante que, ne demandant que peu de moyens, tout le monde peut la mettre en oeuvre. Il s'agit simplement d'un saladier d'eau, munie d'un traceur (un petit objet flottant). En plaçant les mains juste au dessus de la surface, vous verrez un mouvement circulaire se mettre en place après un certain temps. Mouvement que la science n'a pour le moment pas expliquer (le laboratoire de zététique a tenté de reproduire ce mouvement, à l'aide d'une main réchauffée en silicone, mais sans succès).
Le magnétisme humain, cher à de nombreux grands scientifiques comme Mesmer, n'entre malheureusement pas dans les dogmes de la science officielle. Et M. Pinoteau se verra refuser le prix pour d'obscures raisons, et débouté de façon très étrange par la justice de sa demande d'accession au prix devant les tribunaux. Nul doute que le gouvernement a su empecher ses institutions officielles d'être ridiculisées.

Parfois, grâce au courage de certains pionniers, ces institutions officielles vacillent (au sens des bien-pensants qui ne supportent pas qu'on les remette en cause). Parlons donc d'un de ces pionniers, M. Yves Lignon, et de ses mésaventures.
Le Professeur Lignonn'est pas lui, à l'instar de M. Pinoteau, un sans grade de la science. Professeur de Mathématiques, il a monté à l'Université de Toulouse-Le Mirail le laboratoire de parpsychologie de Toulouse.
Alors, quand le pouvoir en place voit la parapsychologie et donc l'inexpliqué arriver à l'Université, il prend bien entendu peur. En tentant de discréditer à la fois le chercheur et son laboratoire. Pourquoi cet acharnement?
C'est ma foi assez simple. Qu'est-ce que la parapsychologie? Il s'agit simplement d'une démarche intellectuelle consistant à sortir des dogmes de la science et à proposer des explications qui apparaissent bien plus crédibles. Voilà le drame: ces gens hors des institutions, hors de tout contrôle gouvernemental donc, se permettent de ne pas accepter les explications qu'on leur donne et de penser par eux même, suprême crime doublé du crime de lèse majesté envers cette société des élites qu'on nous impose.
Et quand l'homme qui se dresse devant le pouvoir est un directeur de laboratoire, il faut une riposte qui ne laisse aucune chance. Alors non seulement on enverra le héraut de l'ordre établi, le directeur du laboratoire de zététique, Henri Broch, mais on lui adjoint un Prix Nobel de Physique, M. Georges Charpak. Dans un livre qui tente maladroitement de s'en prendre à ceux qui résistent à l'uniformisation des pensées et à la toute puissance de la science, "Devenez sorciers, devenez savants", ils s'en prennent au Professeur Lignon, par une satyre de ses compétence et une attaque mesquine sur une vague histoire de auvent. Un auvent miraculeux dont l'absence semblerait prouver tous les maux dont est coupable notre habitué des sentiers parrallèles. Bien entendu, là encore sans surprise, la justice restera sourde aux demandes légitimes de réparation de M. Lignon. Et l'histoire que l'on assènera ne retiendra que ce auvent sans importance, oubliant les nombreuses victoires et explications convaincantes données par les parapsychologues.

On pourrait bien entendu citer le nom de Thierry Meyssan, autre victime expiatoire des empêcheurs de penser en rond, mais j'y reviendrai prochainement, au sujet des nombreux doutes autour du 11 septembre.

lundi 6 octobre 2008

Le pourquoi du comment.

Bonjour,
Suite à quelques échanges avec un jeune auteur un peu véhément,ma fibre littéraire a de nouveau été titillé. A nouveau? J'ai effectivement participé à plusieurs périodiques, aux fortunes diverses, par le passé. Alors, me direz vous, pourquoi ne pas continuer dans cette voie, qui plus est bien plus rémunératrice? C'est simple, ami lecteur (cette "amitié" ne concerne bien entendu pas les cerbères du pouvoir et de l'information "officielle", toujours prêt à faire taire ceux qui sortent du rang tout en pleurant comme un BH Levy de service public sur la connivence entre les medias et le squatter de l'Elysée). Internet permet à la fois de ne pas être dépendant d'un rédacteur en chef, et donc des annonceurs et autres groupes de pression (j'y reviendrai ultérieurement), tout en garantissant un certain anonymat protecteur.
Je vois déjà les critiques fuser: pourquoi cet anonymat? N'est-ce pas par irresponsabilité? Mais devant l'évidence, les nombreux saccages de mon domicile et de mes données, assorties à quelques violences physiques par des individus assermentés, vous comprendrez que ces critiques ont autant de prise sur moi que les cailloux d'un petit Palestinien sur un char de Tsahal. Les vérités que je compte pousser modestement vers la lumière sont en effet de celles qui dérangent: qui ose encore évoquer sans trembler le pouvoir des Illuminati, ou l'emploi systématique des implants RFID dans les maternités françaises? Qui ose encore parler d'intelligence extra-terrestre et de leurs oeuvres grandioses (les célèbres agrogrammes) et leur colères terribles (voire les disparitions des Bermudes, la déchéance de B. Spears ou l'engloutissement de l'Atlantide)? Qui ose encore défendre les victimes du savoir officiel, Galilées modernes, comme M. Lignon ou M. Pinoteau? Qui ose encore remettre en cause les thèses de Darwin?
Bien entendu, il ne s'agit pas de faire croître des rumeurs infondées ou autres croyances mythique: malgré mon intérêt pour la cryptozoologie, vous ne verrez rien sur le Bigfoot ou le King of Pop, la documentation n'étant pas assez complète, ou trop controversée. Celui qui entend porter le flambeau de la Vérité face aux organes officiels bien metastasés se doit de se montrer pur, et se comporter comme un véritable nouveau détective. Présenter des preuves, des sources avérer pour faire vasciller certaines convictions qui tiennent parfois de la foi.
Cet espace permet aussi, au contraire des tours d'ivoire des grands quotidiens, qui ne font que transmettre des ordres recues de pantin croyant avoir un peu de pouvoir (j'aurai aussi l'occasion d'y revenir), d'engager de réelles discussions autour d'affaires symboliques (le 11/09 ou la mort de Jean Edern Hallier) ou de thèses séculaire (le tabou bien orchestré autour de la sorcellerie). Voilà tout l'apport que peut avoir ce réseau, la discussion, et l'enrichissement mutuel (en veillant bien sur à ce que la pollution intellectuelle des gardiens du temple officiel). En fonction du temps qu'il me restera, hors de mes enquêtes, je resterai bien sur ouvert aux propositions de sujets.